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Résonances est la réunion de trois personnalités, Henri Vacquin, Didier Morfoisse, Dominique Legrand qui ont regroupé leurs expériences et leurs expertises pour proposer une offre large et diversifiée.

Présentation

Pourquoi ça résonne ?

Les mutations du travail, nous les avons vécues depuis quarante ans, en acteurs ou en observateurs de l’éclatement de la collectivité de travail. Dans le même temps se faisaient jour des exigences de plus en plus fortes de résultats individuels et collectifs. Nous avons eu à gérer la traduction de ce morcellement en termes d’employabilité et de licenciements.

Eclatement de la collectivité de travail, des statuts des salariés : à l’entreprise qui résonnait de tous ses métiers et compétences a succédé de nombreux cercles qui résonnent de moins en moins ensemble et dans lesquels le sens du collectif se dissout.

De cette période nous avons appris qu’il ne faut pas contrer les évolutions du monde du travail mais les accompagner dans un projet commun à la fois managérial et social.

Ces quarante années passées résonnent dans les solutions que nous vous proposerons. Resserrer le champ conventionnel, l’adapter aux nouveaux statuts des relations du travail, imaginer de nouvelles formes de contrat social, sont l’écho de nos expériences passées.

Nous avons acquis notre expérience à l’aune des changements qu’il nous a été donné d’accompagner. De l’enrichissement des tâches des années 70, aux rapprochements des lieux de décisions de ceux où les tâches sont exécutées, de la participation, des prémices de la GPEC à l’individualisation des relations de travail, nous avons connus les difficultés du management à sortir du travail prescrit.

Nous n’avons, en outre, pas traversés ces décennies sans nous départir de la nécessité de conduire le changement et de façonner le management en lien étroit avec les relations sociales. La négociation, le rôle des partenaires sociaux, la gestion des conflits, ont fabriqué notre expérience du social en entreprise.

C’est aussi parce que nous savons « d’où vient l’entreprise » que nous pouvons « savoir où on en est » et vous conseiller utilement.

 

Champs de compétences

Notre expertise

La réunion de trois personnalités

L'équipe

Henri Vacquin, sur le terrain du management et des analyses des conflits du travail depuis les années 70, apporte la mémoire indispensable à la réflexion sociale et sociétale et une expérience reconnue dans les grandes entreprises et l’univers de la représentation (syndicat de salariés et d’employeurs).

Dominique Legrand et Didier Morfoisse apportent chacun quarante ans d’expérience du management des ressources humaines et plus généralement des comportements humains face au rapport de travail qu’il soit individuel ou collectif.

Professionnels du social réel de l’entreprise, ils ont pratiqué dans des univers très variés, privés et publics, français et internationaux. Consultants, managers opérationnels, médiateurs ils vous accompagneront dans vos projets collectifs, qu’il s’agisse de réorganisation, de restructuration, de mobilisation de vos équipes, en veillant à associer toutes les parties prenantes.

Ce sont des généralistes dont les personnalités et les compétences sont complémentaires qui ont décidé d’unir leurs capacités pour mener au mieux votre projet de changement, qu’il s’agisse de votre projet d’entreprise, de l’animation de votre comité de direction, de vos accords avec vos partenaires sociaux ou encore de votre politique de mobilisation et de communication interne avec la communauté des salariés.

Persuadés que seule une vue d’ensemble et une large palette de spécialisations RH les permet de mener un projet d’entreprise et une politique du changement, ils ont conçu Résonances en réseau afin d’être en mesure de répondre au plus près de votre besoin et vous offrir une réactivité immédiate.

Ils fondent leur intervention dans votre entreprise sur l’analyse du réel, le respect et l’écoute de tous, conditions essentielles de l’adhésion.

Notre expérience

Ils nous ont fait confiance

Notre expérience

Clins d'œil

… En lisant les nôtres, nous parions qu’ils résonneront en vous !

S’appuyer sur tous les réseaux locaux, ne jamais les prendre par surprise

En entreprise, lorsqu’un projet de réorganisation est mis en route, les partenaires – employeurs comme représentants du personnel – résistent mal à la tentation «de régler cela en famille ». Du côté employeur, on limite les contacts extérieurs au consultant qui va accompagner la mise en place du plan de sauvegarde de l’emploi, du côté élus à une réflexion en chambre. Henri, Dominique et Didier font d’abord résonner les projets d’évolution des organisations et des comportements avec les parties prenantes de l’environnement de l’entreprise. Ils ont une longue pratique de la bonne préparation nécessaire à la réussite de ce type de dossiers : élus locaux, administrations du travail, préfectorale, fédérations professionnelles, sont toujours de bonnes caisses de résonance a priori, jamais des empêcheurs de tourner en rond. Le péché d’orgueil, qui ne pardonne jamais, qui condamne par avance le projet de changement, c’est de les ignorer.

Dominique a pratiqué avec succès cette méthode lorsque, dans le cadre de l’inspection du travail, il accompagnait la restructuration du textile dans l’Est, ou lorsqu’il était à la tête de la DRH d’une des plus grandes brasseries européennes. Henri a fait de même à France Télévisions, Didier dans la mutualité bancaire ou dans la première société franco-américaine d’offshore pétrolier.

Travailler sur le réel

Us et coutumes priment sur la règle écrite. Lorsqu’Henri Vacquin prend en charge l’amélioration du fonctionnement d’un Comité de Direction ou d’un Comité Exécutif, les recommandations qu’il fait s’enracinent bien plus durablement dans la pratique des dirigeants que les recettes préétablies des gourous à la mode parce qu’elles résultent de la seule analyse du fonctionnement réel et quotidien de ces comités et des comportements de chacun.

Même principe avec les partenaires sociaux : pour résonner avec eux, us et coutumes priment sur les institutions prévues par la loi pour organiser les rapports sociaux. Essayer de construire quelque chose avec les représentants du personnel dans l’enceinte des comités d’entreprise ou dans le dialogue frontal et exclusif avec les organisations syndicales … Aucune chance de sortir du rapport d’affrontement et d’échanger en vérité. Partant de ce principe, Didier Morfoisse a permis chez General Electric, GTM DUMEZ, SIEMENS et CHANEL, de pacifier les relations collectives en mettant en place de véritables rituels d’échange et de construction de projets, adaptés aux cultures d’entreprise.

Utiliser les contraintes pour sortir du conflit

Dans un grand établissement public culturel parisien au bord de la guerre sociale, («le P38 vient d’être dégainé», autrement dit 38 jours de grève ont déjà eu lieu), la Ministre de la Culture et la Direction donnent une semaine à Dominique Legrand pour éviter la fermeture définitive de l’entreprise.

Contrainte de temps (une semaine), contrainte d’objet (la négociation bute sur les jours de congés). Dominique pratique le court sommeil des nuits de quart en mer et déplace le cap : la contrainte des jours de congés devient une négociation réussie sur le décompte annuel des jours de travail.

Faire éprouver plutôt que donner la preuve

La médiation que Didier pratique en intra comme en inter entreprise, amène les hommes, les femmes, les organisations, à «éprouver», trouver en eux-mêmes, leurs vrais besoins, leurs objectifs réels, en les amenant à ne pas avoir peur de le dire à l’autre : pour Résonances, pas de solution préfabriquée, pas de modèle imposé de l’extérieur. Ainsi, le manager, surpris du rejet violent des opérateurs lors d’un simple changement de matériel en usine, réussira son projet de changement lorsque nous l’aurons aidé à éprouver/approfondir l’attachement physique et sentimental de l’ouvrier à sa machine. De la même manière, nous ferons éprouver à la directrice d’une boutique, indignée par un mouvement social déclenché pour elle sans raison (les boutiques sont les plus belles du secteur, les salaires les plus élevés du marché), que la nouvelle répartition des espaces entre les espaces commerciaux et ceux dédiés aux personnels renvoient une image d’elle mêmes très dévalorisante aux personnels de vente, dont l’espace vital a été oublié.

Tirer parti du «monde clos de l’entreprise»

L’entreprise est un univers clos, comme la jonque que Dominique Legrand, a commandée en mer de Chine. Pas d’autre choix que de faire avec ceux qui sont à bord. Les fautes se paient tout de suite. Le respect, l’adhésion, demandent du temps.

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Billets d'humeur

Actualités

18 avril 2016

Le dévoilement du travail, une heureuse apocalypse

Henri Vacquin

Pour s’être exclusivement occupés du chômage sans traiter la question centrale de la mutation du travail qui perçait dès les années 1970, les pouvoirs publics sont aujourd’hui dans une impasse sociale. Dos au mur, ils n’ont plus d’autre choix que de s’attaquer aux vrais sujets.
 
Il fallait bien qu’un jour ou l’autre, le déni des réalités fasse que celles-ci se vengent et mettent sur la table les questions enterrées depuis deux générations par les pouvoirs publics, les patronats et les syndicats. C’est une heureuse apocalypse, c’est-à-dire un dévoilement : une chance à ne pas gâcher.
 
Parmi les questions enterrées, la toute première est celle du travail. Parce qu’un jour nous avons connu le plein-emploi, nous l’avons confondu avec le travail. Alors que c’est la nature du travail, tel qu’il est …

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27 octobre 2015

De quoi la chemise de Xavier est-elle le nom ?

Didier Morfoisse

À la racine de la tradition, orientale comme occidentale, le vêtement est l’image du cosmos.
Qu’on vous l’ôte, et ce n’est pas seulement la protection qu’on vous enlève, votre individualité que l’on nie, c’est l’ordre du monde qu’on ramène au chaos originel.
 
À ce chaos organisé et revendiqué par leurs auteurs comme ultima ratio de la négociation sociale, s’ajoute une vilenie de plus : sur les images du 5 octobre, je vois qu’on laisse Xavier à sa cravate.
 
La cravate, elle me protège, comme elle protège Xavier. Elle n’est ni convenance bourgeoise ni affirmation statutaire. Elle est signe de respect envers l’autre.
 
Ce jour-là, la cravate laissée sur le corps dénudé de Xavier est insultante car elle appelle inconsciemment une autre image, celle de l’origine de cet accessoire d’habillement. La cravate du …

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12 janvier 2015

DRH à l’Opéra de Paris : un métier pas comme les autres

Dominique Legrand, Claude Emmanuel Triomphe

On dit que l’Opéra de Paris est une grosse machine
C’est énorme en effet pour une entreprise de spectacle. 5000 personnes environ y travaillent chaque année pour un équivalent temps plein de 2000 salariés. C’est l’archétype de l’entreprise de main d’œuvre et un des plus grand opéra du monde en termes de production. Et il a deux salles ! Et contrairement aux idées reçues qui voudraient en faire seulement un temple de la créativité, il est d’abord doté d’une organisation très rigoureuse, à commencer par la planification des « masses artistiques » pour reprendre une appellation de la maison, 154 danseurs, 120 artistes des chœurs, 48 pianistes et last but not least 174 musiciens auxquels il convient de rajouter une moyenne de 15% d’intermittents.
 
Pour sortir un spectacle d’opéra avec des solistes lyriques qui ont peu de temps de répétition, …

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